La politique (et/de) la queue du chien

Il y a bien des jours où la démocratie occidentale me fait penser à un chien qui essaye de se saisir de sa queue. Il tourne en rond dans un sens puis dans l’autre, comme la droite et la gauche qui se relaient à tour de rôle au pouvoir. Chacun a un but à atteindre — attraper la queue — Ils essayent comme les promesses qui sont faites au peuple les unes après les autres. Parfois ils y arrivent l’espace d’un instant mais un chien ne peut garder sa queue dans sa bouche éternellement. Au bout d’un moment, le corps se rebelle. Cherchant le changement. Comme le peuple qui grogne des reformes qui le mettent à mal.

Mais quand on rajoute une constante ou deux, les puces d’une certaine manière : Comme l’écologie et l’économie. Là ! ça devient la Bérézina ! L’antagonisme même, la folie du chien poussée à son paroxysme. Il est capable de se tenir la queue en se grattant les puces ? Pas sûr ! Et s’il le peut, peut-il vivre ainsi ? Et pour combien de temps cela peut-il vivable pour l’animal ?

Finalement il y a-t-il une solution viable pour que le chien puisse saisir sa queue, la garder dans sa bouche sans se blesser. Et les puces ? Peuvent-elles cohabiter ensemble ?

Beaucoup de question et si peu de réponses…

La solution ne serait-elle pas de couper la queue du chien. Il cesserait ainsi de courir après de vaines promesses. Ou bien lui couper la tête… Mais alors le chien peut-il survivre comme une hydre en attendant qu’une nouvelle repousse ou alors cela serait-il simplement la fin du chien, des puces et de tout le reste…

Laisser un commentaire